La Bête création 2002 |
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La résidence au Fourneau en 2002 |
Au bord de son camion aménagé en scène d'attraction, l'infatigable Annibal, des tournées internationales Annibal et fils, dernier représentant d'une longue lignée de forains, bateleur invétéré et bavard impénitent ; exhibe de ville en ville une bête curieuse, une bête de scène : Roger Cabot, le grand acteur, le cabotin émérite ! On se souvient qu'avant d'être une vedette, Roger Cabot obtint, à 16 à peine, le 1er prix de conservatoire. C'est ce titre qu'il remet en jeu tous les soirs devant une foule de badauds impressionnés. Mais ce jour là, Roger Cabot va rencontrer un adversaire de taille ! Parmi les volontaires choisis dans la foule, le jeune Jean-Louis monte sur le plateau. Jean-Louis qui n'a d'autre expérience que celle d'avoir joué Cyrano de Bergerac au collège, endosse son rôle de challenger avec tellement d'enthousiasme qu'il s'attire l'engouement du public. Comment naît une star, comment disparait elle ? |
Coproducteurs : Le Moulin Fondu, Le Fourneau [en Bretagne], la Cave à Théâtre (Colombes). Tournée 2002 : 1er mai > Carantec, 26 mai > Noisy-le-Sec, 5 et 6 juin > Goumen-Bis (Paris XXè), 9 juin > Paris XIè, 16 juin > Colombes, 29 juin > Villeneuve la Garenne, 20 et 21 juillet > Châlon sur Saone, 24 juillet > Morlaix |
L'étrange cas duDr Jekillet deMr Hyde(spectacle masqué) |
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Londres, XIX siècle... Un mystérieux et criminel Mr Hyde, protégé du très irréprochable Dr Jekyll sème l'effroi. Maître Utterson, notaire et ami du docteur, mène l'enquête . |
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Plus de 250 représentation et toujours en tournée... |
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D'après l'oeuvre de R.L. Stevenson |
France/Visiteurss'adresse à ceux qui adorent, aiment bien, détestent ou se fichent éperdument du football. Il relate l'événement le plus important sur terre depuis le départ de Papin pour Milan: la finale de la coupe du monde de football , opposant la France aux «Visiteurs» (soin est laissé au spectateur de choisir son adversaire détesté: anglais brutal, fier argentin, lâche italien, allemand borné,...)A ce sujet les auteurs, conscients que l'événement de référence de cette étude sociologico-burlesque appartient encore au domaine de la fiction, ne s'en sont tenus qu'à la stricte réalité des faits. Ainsi, en gros plans et en direct, vous verrez les joueurs les plus exceptionnels, les spectateurs las plus fair-play, l'arbitre le plus impartial, le directeur de club le plus honnête, le retour de l'émir et celui de PapiKopa... Mais aussi, vous saurez pourquoi Michel Platilgo s'est remis à fumer et comment Bartissol arrête les buts. Vous assisterez aux buts les plus phénoménaux, au penalty le plus ignominieux, au but le plus invraisemblable, au coup franc le plus douteux et à l'ovation la plus enthousiaste (après l'égalisation sauvant la France dans les dernières minutes du match). Proche de l'incroyable, le dernier penalty, celui qui doit permettre à l'équipe de France de remporter cette finale, sera offert au spectateur le plus méritant. Et si le comique de nos situations est à la dimension de notre analyse sociologique, gageons que ce spectacle-miroir reflétera dans la joie, bien des comportement catalysés par le ballon rond. |
Attention au chienLâchés en n'importe quel lieu de la ville, au coeur du quotidien, des couples maître et chien se promènent, jouant de courtes scènes de leur vie ordinaire ou improvisant avec le public.Le sportif et le dogue poussif, l'agent de sécurité et le berger terrifiant la mémère et le spitz capricieux, l'aristocrate et la levrette haut de gamme... Mais comme ces chiens sont des humains masqués, les comportements représentés mettent en évidence toute l'ambiguïté des relations dépeintes. Humanité de la bête, bêtise des humains? Le chien qui niche en chaque maître a-t'il pour maître son chien? |
Création officielle de la compagnie le 12 juin 1992 Après de nombreuses années de collaborations sporadiques enrichies par des expériences individuelles, Frédéric Fort, Thierry Lorent et Bertrand Malherbe décidons la création d'un outil nécessaire à nos futures réalisations et répondant à notre vocation : un théâtre populaire et convivial. Nous le nommions «Annibal et ses Eléphants», car pour
la défense du spectacle vivant, nous étions conscients des
montagnes qu'il nous faudrait franchir. |
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